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vendredi 29 août 2014

Logement : Encore du Bla Bla et des discours de relance !


Le Président de la République avait promis 500.000 logements par an dont 150.000 logements sociaux. La réalité : on n'a jamais aussi peu construit et rénové dans notre pays !
Baisse drastique des mises en chantiers et des permis de construire déposés, multiplication des faillites dans le bâtiment (1/3 des dépôts de bilan l'an dernier et perte de 0,4% point de croissance), inadéquation entre l'offre et la demande de logements dans les régions.
Et pourtant, des annonces, il y en a eu ! Des textes législatifs aussi ! Pas moins de 3 dont la fameuse loi « ALUR » : un an de navette entre l'Assemblée Nationale et le Sénat .le Premier Ministre s'est pris à « aimer » les professionnels de l'immobilier, de la construction et du bâtiment. Il ne fait aujourd'hui que recycler ces mêmes annonces, répéter que les délais d'instruction des permis de construire seront raccourcis et complète ce qui reste un discours de plus, par une série d'annonces sur de nouveaux avantages fiscaux et des financements de l'Etat pour lesquels il faudra trouver une majorité au Parlement pour les voter ! Mais l’immobilier est beaucoup trop cher et on peut prendre toutes les mesures possibles et inimaginables les français n’ont plus l’envie d’investir dans l’immobilier. Ils ont peur de l’avenir, de perdre leurs emplois et surtout ils attendent l’explosion de cette bulle immobilière qui ne va surement pas tarder …..  

vendredi 22 août 2014

Ça commence à bien faire.


On a rien dit quand les tribunaux de proximité ont fermé.
On a rien dit quand les services hospitaliers fermaient les lits.
On a rien dit quand les professeurs n'étaient pas remplacés.
On a rien dit quand ils ont reculé l'âge de la retraite.
On a rien dit quand ils ont dé-remboursé les médicaments.
On a rien dit quand ils ont réduit les allocations d'autonomie des vieux.
On a rien dit quand ils ont privatisé l'énergie.
On a rien dit quand ils ont mis le bouclier fiscal.
On a rien dit quand ils ont tripatouillé l'ISF.
On a rien dit pour l'augmentation du nombre de travailleurs pauvres.
On a rien dit pour celui des ménages endettés.
On a rien dit quand ils ont flingué pôle emploi pour redistribuer ses débris au privé.
On a rien dit pour le pouvoir d'achat.
On a rien dit pour les lois répressives.
On a rien dit pour les autorisations sur les OGM, le nucléaire sans débat, les pesticides.
Mais les contribuables en ont ras-le-bol de toutes ces hausses d'impôt.

Certains ménages ont subi une hausse d’IR (impôts sur le revenu) très supérieure à celle prévue. Ces hausses d’impôts conduiront probablement les ménages à réduire leur consommation. A défaut, certains auront bien du mal à payer leur IR  

L’exécutif a beau rabâcher qu’il a "entendu" le sentiment de "ras-le-bol fiscal" des français, il ne semble qu’en avoir entendu le son. Ce son est entré par une oreille pour sortir aussitôt par l’autre !!!


 

 Ras-le-bol de payer autant d'impôts ! ....

vendredi 15 août 2014

Qui a peur de la déflation?


Depuis plusieurs années les revenus des français stagnent, voire reculent, les impôts augmentent, encore cette année pour 80% des gens qui paient l'impôt sur le revenu et on ose nous présenter la déflation comme une mauvaise nouvelle?

Des prix qui reculent, à qui la faute? A la mévente, le pouvoir d'achat des français recule, donc, logiquement ils achètent moins.

La plus par des Français participe à cette non-consommation, nos impôts ont outrageusement augmenté et nos revenus n'ont pas  bougé, nos charges restant les mêmes, alors je ferai un peu plus attention encore à mes dépenses non nécessaires, mais ne vivrai jamais à crédit. Le crédit on sait quand ça commence, on ne sait jamais quand cela sera remboursé. Donc la TVA rentrera moins, quelle surprise pour le gouvernement, les français ne peuvent à la fois payer des impôts et consommer. Le budget de l'état français ne fait pas d'économies, la dette française continue à gonfler et le déficit revu déjà à la hausse sera explosé.

Qui est responsable de cette situation? Ceux qui nous gouvernent et qui n'ont pas resserré les boulons, car au-delà de la conjoncture internationale les  résultats de chaque pays sont les conséquences des choix de leurs gouvernements.

Tenir un budget à quelque échelle que ce soit c'est faire des choix. Parmi les prochains choix que l'état sera obligé de faire, les dotations pour les collectivités locales seront en première ligne,  ce ne serait que justice, ces collectivités sont responsables de bien des dérives budgétaires, semblant de pas prendre en compte l'obligation de restreindre leurs actions à l'indispensable.

La baisse des prix est une bonne nouvelle pour les particuliers. Un produit qui était à 100 euros et qui passe à 95 euros, c'est 5% de gagné pour le consommateur, mais en revanche pour l'état, si ce produit est taxé à 20%, la recette de l'état qui était de 20 euros passe à  19 euros, 1 euro de recette manquant. Le gouvernement avait tablé sur une inflation d'environ 1.4%, le manque à gagner est donc encore plus important, et les petits ruisseaux alimentant un fleuve immense, le manque à gagner sera conséquent.

Il faut ouvrir les yeux : Les français ne peuvent pas dépenser plus d'argent qu'ils n'en gagnent …

mercredi 13 août 2014

Impôts, Chômage et maintenant Croissance Zéro


Ceux, et ils étaient nombreux, qui approuvaient la théorie de rétablir en priorité l'équilibre des comptes publics, et qui y voyaient même un gage de sérieux et de crédibilité découvrent brusquement qu'eux-mêmes, ou les structures auxquelles ils appartiennent, vont y laisser quelques plumes.  

Jamais personne, n'a réussi à se désendetter dans un contexte de faible croissance et de quasi-déflation comme celui qu'organisent structurellement les règles qui régissent actuellement l'espace économique français et européen. On peut également douter qu'au final, une telle politique puisse aboutir à autre chose qu'à un appauvrissement global du pays et à une remise en cause des systèmes de solidarité progressivement mis en place, en France comme ailleurs, pour tenter de dompter un capitalisme qui, livré à lui-même, broie les sociétés et les individus qui les composent.

Comment ne pas constater les énormes dégâts sociaux et économiques entraînés par les politiques prônées depuis trois ans dans les pays de la zone euro en crise, sans que ceux-ci voient le bout du tunnel en matière d'endettement public ? Comment s'enthousiasmer pour les succès d'un modèle allemand obtenus au prix d'une hausse spectaculaire de la pauvreté et des inégalités, et d'un formidable déséquilibre démographique, faute de dépenses collectives suffisantes ? On peut se demander s'il ne s'agit pas simplement d'engager la France à son tour dans la course au moins-disant social commencée au sud de l'Europe.

L'exécutif français a ses responsabilités dans le marasme actuel. Et on peut douter que notre gouvernement parvienne à redresser la barre dans l'Hexagone s'il ne réussit pas à changer significativement la donne au niveau européen.

samedi 9 août 2014

Si la lumière disparaissait .........

Si la lumière disparaissait on aurait beau réunir tous les plus grands physiciens du monde, on ne saurait même pas la recréer.




jeudi 7 août 2014

L'immobilier en France est trop cher !!!


Comme dans toute l'Europe, les prix de l'immobilier en France ont grimpé en flèche dans les années 2000. Mais contrairement à nos voisins, ils n'ont pas baissé après la crise de 2008, ou très modérément, ce qui a beaucoup de conséquences négatives avec ces prix élevés.


L'épargne des Français est ainsi entièrement dédiée au logement, ce qui ralentit la consommation d'autres biens et bloque la reprise économique. L'achat immobilier est maintenant réservé qu'à quelques ménages. Les plus modestes, les plus jeunes et maintenant la classe moyenne n'ont plus les moyens d'accéder à la propriété, ce qui renforce les inégalités entre ces exclus et les propriétaires de longue date qui étoffent encore leur patrimoine.

Pourquoi la flambée tout à fait anormale des prix durant la dernière décennie, alors que jusque-là l'immobilier suivait l'évolution générale des prix est-il en permanence plus chères en France que dans tous les pays d'Europe ?  Pourquoi les prix des terrains constructibles ont-ils été multipliés par au moins 5 dans la plupart des régions en 10 ans ? Qui a refusé de rendre les terrains constructibles pour provoquer une hausse démentielle ? Qui empêche à présent leur diminution et comment ?

Pour enrayer ce système il faudrait par exemple rendre obligatoire la construction sur un terrain pour lequel une attestation de constructibilité a été émise, faute de quoi le propriétaire serait exproprié ou contraint de payer à la commune une contribution aux investissements collectifs. Dissocier la propriété du foncier et de la construction pourrait également être une solution pour développer l'offre, comme cela se fait déjà dans d'autres pays.

Les causes de la hausse des prix sont également derrière nous : aides d'Etat pour les acheteurs, avec Scellier, PTZ et compagnie, allongement de la durée des prêts, baisse des taux d'intérêts. Tout ce qui solvabilise la demande fait automatiquement monter les prix. Aujourd'hui, tout cela est fini, et la confiance des Français dans l'avenir est au plus bas. Le seul point positif actuellement est les taux d'intérêt bas. Dès qu'ils remonteront, le marché passera de "baisse progressive" (situation actuelle) à "effondrement".

lundi 4 août 2014

Pourquoi le vélo rencontre si peu de succès dans notre ville ?




Quand on parle de rue aujourd'hui on a tendance à confondre avec route, à penser voiture avant tout. Et bien non ! Une rue, en ville, c'est tout l'espace public, de façade à façade, chaussée comme trottoirs. Un espace à partager entre piétons, cyclistes et automobilistes. Un espace où quelques règles de bonne conduite et de respect mutuel s'imposent pour cohabiter en toute sécurité... à Senlis rouler à vélo peut facilement vous rendre parano, surtout qu’il faut rester en permanence sur ses gardes et être très attentif vu le nombre de voitures dans nos rues étroites. Pas facile de vivre la ville à vélo dans un environnement encore dominé par la voiture individuelle qui ne vous respecte pas.  Il faut dire aussi que la ville de Senlis ne fait pas grand-chose pour aider le vélo, nous n’avons pas beaucoup de pistes et voies cyclables, alors que le vélo est un moyen de transport bon marché et surtout non-polluant. En ville, la voiture couvre la plupart du temps de très courtes distances et c’est là qu’elle est la plus polluante Moteur froid, elle pollue davantage au démarrage. Contrairement aux idées reçues, le vélo nous expose deux à trois fois moins à la pollution (5,9 mg/3 d’exposition au monoxyde de carbone contre 14,1 en voiture, dans cet espace clos où l’air ne circule pas…). En parcourant 10 km à vélo chaque jour, au lieu de prendre la voiture, on évite aussi le rejet de 700 kg de CO2 par an ! Enfin, adopter le vélo au quotidien, c’est aussi faire chaque jour un peu de sport… rien de tel pour rester en bonne santé. Peu à peu, le vélo se fait sa place dans les villes françaises : services de prêts ou de location, infrastructures adaptées, aménagement des rues… On compte aujourd’hui 150 véloroutes et voies vertes en France, couvrant plus de 6000 km. Adopter le vélo, c’est aussi le moyen d’échanger et de se rencontrer entre cyclistes

 Il faut donc se faire à l’idée que le vélo a sa place sur la route et c’est un droit !!!  

vendredi 1 août 2014

Les différences fondamentales entre juilletistes et aoûtiens


Si vous avez passé un joyeux week-end dans les bouchons, c'est que vous êtes un vacancier militant : soit vous êtes un juilletiste qui aime les reprises en douceur, dans la chaleur moite du mois d'août, soit vous êtes un aoûtien qui a tenu la boutique jusqu'au bout avant de lâcher prise dignement. Car vous le savez, c'est à cette période que se dessine le seul vrai clivage de notre pays, il n'y a plus de jeunes, plus de vieux, plus de gauche, plus de droite, plus de citadins, plus de campagnards, il n'y a que des vacanciers qui se croisent sur l'autoroute. Et on les reconnait tout de suite :

  1. L'aoûtien veut du soleil
    Alors que le juilletiste veut juste se casser du boulot le plus vite possible, et s'il flotte un peu au début des vacances, ça ne le tuera pas. Un vrai juilletiste tire une fierté d'être le premier de son lotissement à faire un barbecue, l'aoutien veut avant tout que ses gamins fassent une rentrée scolaire bien bronzés.
  2. Le juilletiste est un sportif
    Il peut ainsi profiter de ses congés pour aller encourager les grimpeurs dans les étapes de montagne du Tour et rentrer à la maison pour profiter de son abonnement télé Sports. L'aoutien va préférer écumer les festivals d'été les plus pointus, du Jazz à Marciac au début du mois, du théâtre à Noirmoutier, un passage à la Route du Rock à la mi-août et un retour à Paris pour Rock-en-Seine.
  3. Le juilletiste est un subalterne
    Car le cadre dirigeant est en général un aoûtien. Quand il prend des vacances, c'est vraiment parce qu'il en est obligé. Le juilletiste a posé ses vacances bien en avance, pour avoir un bon prix sur sa location, le sort de sa boite en juillet, ce n'est pas son problème.
  4. L'aoûtien est un lèche-cul
    Conséquence du point précédent, soit l'aoûtien est le patron, soit il veut être là quand son patron est dans les parages. Le juillettiste pour sa part est un tire-au-flanc, il est syndiqué, et ses congés font partie de ses acquis sociaux. Il adore se barrer début juillet en criant "salut les connards! A dans 3 semaines!"
  5. Le juilletiste est un mauvais citoyen
    Il n'attend pas que son gouvernement soit en vacances pour partir, et quand il reprend le boulot, il est le premier à faire tourner des photos de Jean-Marc Ayrault en bermudas dans le Morbihan en disant "et ben... y'en a qui s'emmerdent pas". L'aoûtien prend une pause bien méritée avant d'affronter les dossiers politiques de la rentrée.
  6. L'aoûtien est blanc comme une fesse
    Toute l'année, ça ne se voit pas, mais quand les juilletistes sont revenu, l'aoûtien a l'air d'un cachet d'aspirine. Et comme les premières chaleurs se sont produites, l'aoutien a un bronzage de cycliste, barré par sa chemisette, tandis que le juilletiste a, au pire, la trace de la ficelle du string.
  7. L'aoûtien est riche
    En tout cas, suffisamment pour ne pas se mêler aux juilletistes qui profitent des tarifs plus modéré en début de saison. Par conséquent, les aoutiens sont moins nombreux chaque année, crise oblige.
  8. Le juilletiste sait qu'il a raison
    Et il pense que les aoutiens voudraient être comme lui, c'est juste qu'ils n'ont pas le choix. Du coup, l'aoutien, selon le juilletiste, se retrouve sur des plages surpeuplées et dans des chambres d'hôtel à plein tarif.
  9. L'aoutien est condescendant
    Et il estime que le juilletiste est un Anglais en bermudas, qui se fout du temps merdique tant qu'il peut glander toute la journée en sandales plastiques sur les galets. L'aoûtien part en vacances quand il a le sentiment du travail accompli. Le juilletiste part en vacances dès qu'il fait plus de 15 degrés.
  10. Le juilletiste et l'aoûtien sont d'accord su un truc : les "hors-saisonnistes" sont vraiment des sales cons
    Et s'il y a une trève entre les deux clans, c'est pour dire du mal de Berthier qui s'est barré en Thaïlande en plein mois de janvier ou Le Guennec qui est revenu des Canaries en mars. Ça fait en tout cas un sujet de discussion dans les bouchons pendant le chassé-croisé du début août.

Et vous, vous êtes dans quel camp ?

Source :Topito, Le Figaro, enquête Travelzoo